L'histoire de Mark Zuckerberg - réflexions

Réflexions diverses autour de la biographie de Mark Zuckerberg
Mark Zuckerberg - la biographie - Daniel Ichbiah

Daniel Ichbiah

La Martinière, 2018

Daniel

J'ai regroupé sur cette page divers sujets de réflexions que j'ai pu avoir sur Mark Zuckerberg.

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Il était une fois un milliardaire qui n'aimait pas l'argent...

Minimaliste

Mark Zuckerberg -2007

Zuckerberg est animé d'une conviction profonde qui rappelle certaines philosophies orientales. Ainsi, il considère qu'il serait bon d'éliminer le désir. Il se dit aussi adepte du 'minimalisme'. Et sa désinvolture vis-à-vis de l'argent et d'une vie de milliardaire peut paraître surprenante.

Oui bien sûr. Pour un grand nombre d'entre nous, faire fortune apparaît comme un objectif appréciable.

Ce n'est pourtant pas le cas de Mark Zuckerberg.

Facile à dire, font remarquer certains. Lorsque l'on devient le plus jeune milliardaire de la planète à 24 ans, il est facile de donner l'impression que l'on snobe la fortune, le faste, le luxe…

Pourtant, force est de reconnaître que Zuckerberg - et ce n'est pas le moindre de ses mystères - n'est pas motivé par l'argent.

L'insoutenable légèreté du geek

All Things Digital

Plus étonnant, il semble n'avoir jamais eu cette motivation :

Et vous ? Si vous aviez monté une start-up il y a 2 ans et qu'on vous offrait aujourd'hui 1 milliard d'euros, auriez-vous le cran d'y résister ?

Le plus dingue, pour ceux qui ont assisté à cette scène, c'est la désinvolture avec laquelle il a traité la question.

Non, ce n'est pas ce qui importe à Mark Zuckerberg.

Sa véritable motivation, est de marquer son passage sur cette planète de façon durable…

Il veut entrer dans l'Histoire

Zuckerberg devant le Sénat Américain

Mark Zuckerberg veut marquer l'Histoire.

Comme ont pu le faire des gens comme Martin Luther King, John Kennedy, Gandhi...

Dès la naissance de sa fille Maxima, Zuckerberg a annoncé qu'il entendait distribuer 99 % de sa fortune pour des actions humanitaires.

Il a déclaré vouloir,

" contribuer à l'avancement de l'humanité ".

Ni plus ni moins.

Priscilla

Certes, son épouse Chan, qui est pédiatre, a fortement contribué à un tel crédo. En septembre 2016, sur une scène de San Francisco, elle n'a pu retenir ses larmes tandis qu'elle disait :

" Notre prochaine initiative concerne la guérison de maladies. En tant que pédiatre, j'ai travaillé avec des familles durant certains des moments les plus durs de leur vie. Devoir à la suite d'un diagnostic, leur annoncer une terrible leucémie, et qu'il sera impossible de ressusciter leur enfant… " Elle a dû marquer une pause, envahie par l'émotion, puis a poursuivi :

" Dans ces moments, nous nous retrouvons aux limites de ce que nous comprenons du corps humain et des maladies. La science derrière la médecine. Les limites de notre capacité à soulager les souffrances. Nous voulons repousser ces limites. En investissant aujourd'hui dans la science, nous espérons bâtir un futur dans lequel tous les enfants pourront vivre de longues vies, des vies valorisantes. "

Eliminer toutes les maladies ? Mode d'emploi.

Parmi les ambitions qu'il a données à sa fondation Chan-Zuckerberg-Initiative figure :

" Soigner toutes les maladies durant la vie de nos enfants "

Un objectif utopiste ? Irréalisable. Il y croit pourtant.

Mais comment compte-t-il y parvenir ?

Cette croyance dans le potentiel bienfaiteur de la technologie en matière de guérison du corps humain est un écho troublant à la philosophie qui est de mise dans la Silicon Valley, notamment chez Google, et qui se traduit dans une conviction que l'Homme Augmentée - appelé à naître d'une fusion de l'homme et de la machine - représente le futur de notre espace.

Tôt ou tard, ceux qui adhèrent aux théories de Ray Kurzveil, pape de l'intelligence artificielle rêvent d'un humain dont on aura amélioré les capacités en reprogrammant son ADN, en dotant ses membres d'une assistance robotique, autorisant de soulever des poids énormes.

Le futur champion des démocrates


Là n'est pas tout. Il a été dit que cet opposant à Donald Trump ambitionnait de se présenter à la présidence de la république.

Vrai ou faux ? De nombreux signes incitent à y croire.

Le scandale Cambridge Analytica du printemps 2018 a sans doute retardé cette échéance.

Toutefois, cela pourrait survenir en 2024.

En attendant, Zuckerberg ne cache aucunement son intention de :

Orienter le débat politique et influencer le vote de certaines lois.

Comment compte-t-il peser sur le destin de l'Amérique ? Et donc, sur celui du monde ?... Autant de réponses qu'apporte le livre.


Mystérieuse Silicon Valley

Vivendi

Silicon Valley

Pourquoi voit-on régulièrement émerger de tels empires dans la Silicon Valley et pourquoi sont-ils si rares à naître en France ?

Bitcoin

La Silicon Valley est un endroit particulier. Un laboratoire du monde futur, pas forcément celui que vous souhaiteriez.

Dans ce lieu où évolue Zuckerberg, on célèbre :

Le culte des innovateurs

Bitcoin

Dans la Silicon Valley, on célèbre avant tout les innovateurs, les risque-tout.

Des financiers aux aguets se montrent prêts à soutenir des projets s'ils flairent qu'ils ont repéré l'oiseau rare.

Le capital-risque est ancré dans la culture et les investisseurs sont prêts à dégainer les dollars par millions.

Prends l'oseille et tire-toi

Sean Parker
Sean Parker, l'un des héros initiaux de cette histoire, éjecté malgré lui par l'un des financiers qu'il avait soutenu...

Aucun altruisme n'est présent là. Ces hommes tirés à 4 épingles n'attendent que le moment opportun pour faire entrer la start-up en Bourse, et partir avec le magot.

Jusqu'à cet épisode, rien ne freine ces investisseurs aiguillonnés, nuit et jour, par leur soif de bénéfices.

Tous les coups sont permis. Qu'importe si en chemin, il faut virer le créateur de la start-up ou encore le conseiller qui a fait entrer l'investisseur dans l'affaire...

Tout au long de cette histoire, les victimes se succèdent, à commencer par Sean Parker. Si un personnage a été essentiel à Zuckerberg, c'est bien lui.

Pourtant, le 'venture capitalist' que Parker avait fait entrer dans Facebook a eu tôt fait de se débarasser de Parker comme d'un malpropre. Un peu trop rebelle, un peu trop flamboyant, il commençait à faire tâche.

" Diriger une start-up, c'est un peu comme manger du verre… " a commenté Sean Parker.

Comment Zuckerberg a-t-il su déjouer les pièges sur son chemin ?

Zuckerberg jeune

Zuckerberg a eu son lot bien à lui de tribulations, de traquenards, de tentations à vous faire perdre la tête, de pièges habilement tendus ...

  • Comment ce gamin a-t-il pu évoluer au milieu d'un tel champ de mine ?

  • Comment a-t-il pu à résister à la tentation de l'argent facile comme au chant de sirènes comme Microsoft ou Yahoo! ?

  • Comment a-t-il eu suffisamment de maturité pour diriger une boîte à l'âge de 20 ans ?

  • Comment a-t-il su transformer ses faiblesses en qualité ?

  • Comment a-t-il eu - suffisamment souvent - la bonne intuition qui a fait toute la différence ?

  • Comment est-il devenu le plus généreux donateur humanitaire de la planète ?
  • Voilà ce que l'on découvre durant ce récit palpitant...

    En réponse au New York Times...

    Ma réponse à cet article du New York Times qui a fait tant bruit...


    La prise en compte tardive des fake news

    Il est clair que Zuckerberg, dès lors que l'on a évoqué le problème des fake news a longtemps nié la chose, préférant ne pas regarder ce qui, au fil des jours apparaissait de plus en plus flagrant.

    Il faut se mettre à la place des dirigeants de son calibre. Il avance, tête baissée, vers un objectif, celui de rendre Facebook ou Instagram, ses deux applications phares, toujours plus séduisantes, toujours plus conviviales. Il a battu tant de records qu'il peut entretenir l'opinion qu'il sait où il va et agit globalement pour le mieux.

    Devoir s'arrêter pour réparer ce qui doit l'être, aucun homme de cette trempe n'aime cela. Ni Bill Gates (Microsoft) ni Steve Jobs (Apple) ni Larry Page et Sergey Brin de Google. Chacun d'entre eux, en son temps a nié ou refusé de voir que sa création ait pu faillir si peu que ce soit.

    Ceux qui ont pu voir les retransmissions de l'audience de Bill Gates en 1998 ont soudain vu cette véritable légende, admiré de millions d'américains, tomber de son piédestal. Comme éteint, fade, mal à l'aise, l'as du logiciel se contentait de répondre aux accusations par une triste litanie :

    "je ne m'en rappelle pas ".

    Steve Jobs, en 1984, a longtemps refusé de voir que le lancement du premier Macintosh, cet ordinateur révolutionnaire dont il avait volontairement limité les capacités par souci esthétique, était en train de mener Apple à la faillite, ni plus ni moins. Il a souvent été reproché à John Sculley d'avoir mis Jobs sur une voie de garage, l'acculant au départ en septembre 1985, mais faute d'une telle reprise en main, Apple aurait disparu.

    De même en 2004, lorsque Google s'est lancé dans son opération consistant à numériser les livres de bibliothèques du monde entier - sans l'accord des éditeurs - ils ont avancé, avancé, sans prêter attention aux cries d'orfraie des éditeurs d'Europe ou d'ailleurs. Au final, la plupart ont préféré transiger avec Google que de continuer le combat.

    Vivendi

    Zuckerberg a failli pour les mêmes raisons. Il n'est pas facile d'admettre que Facebook, qui était censé connecter les gens du monde entier, cette création qui a longtemps fait votre fierté et valu l'admiration de millions de gens, vous a échappé.

    Résumons les faits. Peu avant l'élection, Facebook s'est vu accusé d'avoir indirectement favorisé Donald Trump, en facilitant la diffusion à grande échelle de fake news anti Hillary Clinton.

    Initialement, Zuckerberg s'est employé à minimiser la chose, affirmant que les utilisateurs de Facebook savaient faire la part des choses. Le 19 novembre 2016, dix jours après l'élection de Trump, Barack Obama lui-même a même tenté d'amener Zuckerberg à prendre conscience des effets de cette propagande anti-Hillary Clinton que Facebook avait aidé à propager. Il n'a pas voulu y donner écho.

    La prise de conscience a été lente et progressive. C'est n'est qu'en février 2007, qu'il a reconnu que le réseau social avait été utilisé à des fins qu'il réprouvait personnellement - Zuckerbergr n'a jamais caché par ailleurs son hostilité à Trump.

    " Nous savons que de la désinformation et des 'hoax' (canular) de grande ampleur existent sur Facebook et nous prenons cela très au sérieux. "

    Toutefois, Zuckerberg voulait encore croire que globalement, l'atmosphère était au beau fixe.

    " Dans une société libre, il est important que les gens aient le pouvoir de partager leurs opinions, même si d'autres pensent qu'ils ont tort. "

    Il affirmait aussi que la chose était prise en compte, et pas à petite échelle.

    " Nous examinons plus de 100 millions de contenu chaque mois et même si nos investigateurs gèrent correctement 99 % d'entre eux, cela représente encore des millions d'erreurs sur la longueur. N'importe quel système fera tôt ou tard quelques erreurs. "

    Toutefois, les preuves ont continué de s'accumuler. Dès l'automne, la révélation des fake news opérées depuis un immeuble russe a rendu l'opération indéniable. Il a été alors forcé de reconnaître que Facebook avait vendu - sans qu'il en soit lui-même informé - pour 100 000 dollars d'espaces publicitaires, à plus de 400 comptes factices émanant d'une officine de Saint-Pétersbourg. Zuckerberg dira alors :

    " C'était dédaigneux de ma part [d'ignorer cela] et je le regrette. C'est une question trop importante pour la prendre avec dédain."

    Et puis, au printemps 2018, il y a eu l'affaire Cambridge Analytica. Il est alors apparu que la créature du génie avait clairement échappé à celui-ci. Et qu'il lui faudrait désormais travailler dur pour redresser l'image de Facebook…

    Il se voit désormais comme un philantrope

    Zuck png

    Une autre raison qui a pu expliquer la cécité de Zuckerberg sur les affaires telles que les fake news et Cambridge Analyta, c'est que, depuis cinq années environ, il a élargi à très grande échelle son rôle et envisage son futur, bien au-delà de Facebook, comme un philantrophe à grande échelle.

    C'est peu après la naissance de sa fille Maxima que Zuckerberg l'a annoncé : il compte distribuer 99 % de sa fortune à des fins humanitaires !

    Très tôt, il a été clair, au travers de son mode de vie 'minimaliste' que Zuckerberg n'était pas motivé par l'argent. Et au fil des années, il est apparu qu'il comptait dédier cette fortune à pouvoir influencer le monde positivement. Il pourrait être tenté par une carrière gouvernementale. S'il est jamais élu à la présidence américaine (ce qui n'est pas inenvisageable même si l'argumentaire serait trop long à développer ici), il se situerait à l'opposé de Donald Trump sur l'échiquier politique.

    Le modèle de Zuckerberg ce ne sont pas les grandes réussites financières américaines telles que Warren Buffet, les Bill Gates ou encore la famille Walton (qui gère la chaîne Wal-Mart). Dans son panthéon, on trouverait davantage des gens comme Gandhi, César Chavez, Kennedy ou Mandela. Des personnalités qui ont marqué l'Histoire et dont les peuples ont conservé une mémoire affectionnée.

    Comment cela se traduit-il pour Zuckerberg ? Notamment par une volonté, au travers de sa fondation, de pouvoir éradiquer toutes les maladies existantes, grâce à une analyse de l'ADN et la possibilité de prévenir les infections avant même qu'elles ne se produisent.

    S'il est un aspect qui fait de Zuckerberg un personnage hors du commun, c'est clairement celui-ci. Dans le même temps, cette prise de hauteur l'a probablement éloigné des réalités du quotidien de Facebook et amené à négliger les signes alarmistes que pouvaient brandir certains de ses lieutenants.

    Les GAFAs n'ont rien en commun

    Les 'GAFAs' sont une création des médias. Dans la réalité, ce sont des concurrents redoutables qui ont tous recours au lobby, aux campagnes de presse, pour déstabiliser leurs concurrents.

    Il est courant pour nous de désigner les 4 géants de la high tech (auquel il faudrait idéalement ajouter Microsoft dont on pourrait, à tort, négliger l'influence actuelle), comme les GAFAs, une entité globale, une sorte de mouvement né à la Silicon Valley, avec des pratiques et des intérêts communs.

    Dans la réalité, il n'en est rien. Google, Apple, Facebook et Amazon sont des compétiteurs de tous les instants. C'est particulièrement vrai pour Google et Facebook qui sont dans une lutte permanente pour être le n°1 d'Internet. Dans la réalité, Google est n°1 sur les ordinateurs, mais Zuckerberg, dans la mesure où il possède non seulement Facebook mais aussi Instagram et Whatsapp, est le n°1 de la téléphonie mobile.

    Le New York Times reproche à Zuckerberg d'avoir mené des campagnes de lobbying auprès des sénateurs et députés américains ? La belle affaire. A en croire le témoignage de Marylène Delbourg Delphis, une investisseuse française émigrée en Californie, interviewée lors de l'enquête mené pour ma biographie de Zuckerberg :

    "toutes les grandes firmes de high tech embauchent des politiques, d'anciens conseillers à la présidence et autres politiques, pour pousser leur propre message auprès de la Chambre des Députés."

    Bref, il y a là un passage obligé.

    Microsoft a été l'un des premiers à comprendre qu'il fallait en passer par là : en 1994, Bill Gates avait commis l'exploit consistant à se mettre à dos aussi bien les Démocrates que les Républicains - plutôt bien inclinés envers Microsoft à l'époque. A cette époque, il lui avait fallu atterrir et prendre la mesure de la chose. Et donc Microsoft a loué un bureau dans la ville de Washington et entamé des manoeuvres de lobbying. Son exemple a été largement suivi.

    Dans un même ordre d'idée, les cadres des GAFAs n'hésitent pas à égratigner un concurrent dans la presse. Tout cela relève de cette approche ultra-compétitive.

    Ainsi, l'article du New York Times cite Tim Cook, PDG d'Apple clamant :

    "Pour nous, la vie privée est un droit de l'homme."

    En réalité, Cook se donne un peu vite le beau rôle. Suite aux révélations de Snowden, il est apparu que chaque géant de la Silicon Valley faisait les yeux doux au renseignement américain en leur ouvrant les robinets de leurs données. Si Google a précédé Facebook de quelques mois en 2009, Apple a suivi en 2012. Aucune des grands noms de la high tech ne peut s'affirmer blanc neige dans la question.

    Les campagnes de presses organisées pour déstabiliser un concurrent font partie d'un arsenal depuis longtemps éprouvé. Dans mon livre, je consacre plusieurs pages à l'une de ces affaires, intervenue en 2011, dans laquelle Facebook a lancé une campagne en sous-main contre Google - qui venait de lancer son réseau social concurrent, Google+ - et s'est fait prendre la main dans le sac.

    Bref : Yahoo!, Google ou Apple ne sont pas plus blancs que Facebook-Zuckerberg.

    En réalité, s'il y a tout de même un point troublant, c'est qu'il est courant pour Zuckerberg de se faire prendre pour les autres !

    Cela rappelle un peu le temps où au lycée, plusieurs élèves montaient une blague contre le prof et un seul se faisait prendre pour toute la classe. Il semble que ce rôle revienne souvent à Zuckerberg...

    Les questions que vous vous posez sur Zuckerberg

    requetes mark zuckerberg sur google requetes mark zuckerberg sur youtube

    Voici les requêtes les plus souvent posées sur Google comme sur Youtube et des réponses issues du livre.

    Sa fortune

    mark zuckerberg fortune

    Le 20 mars 2017, dans le classement Forbes des milliardaires, Zuckerberg se classe en position n°5 avec une fortune estimée à 56 milliards de dollars. Dans le classement 2018, il se classe en position n°3.



    Son âge

    mark zuckerberg age

    Mark Zuckerberg a eu 34 ans en 2018.



    Son origine

    mark zuckerberg origine

    Né le 14 mai 1984, Mark Elliot est le deuxième des quatre enfants de Edward Zuckerberg, dentiste de Brooklyn et Karen et il sera le seul garçon. Les petites sœurs se prénomment Donna et Arielle.



    Quel enseignement a-t-il suivi ?

    mark zuckerberg enseignement


    Pourquoi son nom est parfois associé aux Illuminati ?

    mark zuckerberg illuminati

    Du fait d'un épisode intervenu durant un débat à 'All Things Digital', le 10 juin 2010.

    (...)

    Kara Swisher se veut alors espiègle. Elle remarque que Zuckerberg est en sueur et demande à brûle-pourpoint s'il voudrait retirer son sweater de skateboarder, ajoutant que cela ferait plaisir aux femmes de l'assistance. Il est pour le moins désarçonné et répond qu'il ne retire jamais son sweatshirt. Il essuie tout de même la sueur de son visage avec sa manche. Mossberg l'attaque alors sur la personnalisation instantanée des informations et quelle peut bien en être la valeur pour les utilisateurs ? Zuckerberg esquisse un sourire puisque esquive la remarque d'une boutade :

    Mark Zuckerberg : " Tout compte fait, je ferais peut-être mieux de retirer ce sweat ! "

    Tandis qu'il l'enlève sous les applaudissements, Kara Swisher ironise :

    " Nous vivons un grand moment de l'histoire d'Internet ! "

    Swisher s'empare alors du sweater et paraît interloquée par ce qu'elle perçoit dans la doublure d'un bleu vif : un signe étrange avec trois flèches partant de la mention 2010 au centre, 'Facebook' au bout de la flèche du bas et la mention 'Rendre le monde ouvert et connecté' sur les côtés.

    Mark Zuckerberg : " C'est le sweatshirt de l'entreprise. Nous imprimons notre mission à l'intérieur : rendre le monde ouvert et connecté. "

    Surprise, Kara Swisher lâche :

    " Oh, mon Dieu, c'est comme un culte secret ! Le symbole au milieu, c'est probablement pour les Illuminati ! "

    L'assistance explose de rire.

    (...)



    Sa maison

    mark zuckerberg maison

    Mark Zuckerberg, a longtemps vécu dans une maison de location sans prétention. En mars 2011, il s'installe dans une belle villa, à 130 mètres du nouveau quartier général. La maison de 520 mètres carré est estimée à sept millions de dollars. Elle intègre cinq chambres, dont une suite en marbre et dispose d'une piscine d'eau salée. Il est vrai que la relation avec Priscilla Chan est devenue plus sérieuse. Comme toujours, Mark passe 1 heure par jour à étudier le chinois.



    Sa femme

    mark zuckerberg femme

    Le lendemain de l'entrée en Bourse de Facebook, et donc le 19 mai 2012, une discrète cérémonie est organisée dans le jardin de la maison de Mark Zuckerberg : c'est en ce jour qu'il épouse Priscilla Chan.

    Le mariage est organisé dans la nouvelle demeure des Zuckerberg et selon certaines sources, il a eu des allures d'une union glamour. Priscilla portait une robe de la couturière en vogue Claire Pettibone. Billie Joe Armstrong, le chanteur et guitariste du groupe de rock Green Day a assuré les parties musicales. Au menu ? Des sushis et de la nourriture mexicaine.



    Le robot de Zuckerberg

    mark zuckerberg robot

    Un ingénieur a rapporté ce fait :

    " Il a travaillé durant des semaines sur un robot capable de photographier les personnes qui sonnent à la porte de sa maison et de leur répondre. "

    Vous consommez probablement du Zuckerberg sans le savoir...

    Certains de ceux qui ont abandonné Facebook suite au scandale Cambridge Analytica consomment néanmoins sans le savoir du Zuckerberg.

    Et oui... Mark Zuckerberg s'est révélé un redoutable joueur d'échecs capable de planifier sa stratégie avec une bonne dizaine de coups d'avance.

    Instagram Aiguillonné par de belles intuitions, il a su débourser des sommes folles pour absorber des apps comme Instagram ou Whatsapp.

    Whatsapp Rien qu'aux USA, 1 minute sur 4 d'activité sur mobile est consacrée à l'une de ces 4 applications : Facebook, Instagram, Whatsapp et Messenger.

    Messenger Or, elles appartiennent toutes à... Mark Zuckerberg.

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    Daniel Ichbiah a été deux fois n°1 du classement général des ventes.

    Avec :

    et n°3 avec Michael Jackson, Black or White ? (en décembre 2014)

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